Les compteurs Linky utilisent la technologie CPL (pour « Courant porteur en ligne »), qui fournit du courant par des fils électriques classiques.

Le compteur Linky ne communique que quelques secondes par jour, entre minuit et 6 heures du matin. Il émet à ce moment un champ électromagnétique de 0,8 volt/mètre, soit bien de dessous de la limite réglementaire de l'Agence Nationale des Fréquence, fixée à 87 volts/mètre.

Les ondes des compteurs Linky ne sont qu'une partie du problème. En plus des Linkys, ENDIS va installer dans chaque quartier, des concentrateurs, lesquels transmettront nos données via des antennes relais .(voir la vidéo ici). Sur toute la France, nous aurons donc 700000 concentrateurs et autant d'antennes relais.

Et le Linky n'est que le premier de la liste, bientôt nous aurons également ce type de compteur pour le gaz et pour l'eau.

Les champs électromagnétiques des radiofréquences sont classés parmi les « peut-être cancérogènes possible » (classification 2B) par le Centre international de recherche sur le cancer.

Le glyphosate n'est pas nocif, l'usine de Bhopal ne présentait aucun danger et toutes les mesures de sécurité avaient été prises à Fukushima. Nous voilà donc rassurés.

Le principe de précaution est inscrit dans notre constitution mais avons-nous vraiment tiré les leçons du passé ?